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Le GPS Un bouton facial permet d’accéder directement à cette fonction. La version que nous avions reçue disposait seulement di logiciel de navigation Route66 avec la carte la France. Loin d’être découragé, nous avons installé promptement le dernier Tomtom 6.30 et la carte du Bénélux pour nous faire une idée objective de cette fonction. Comme la boîte l’annonçait, nous avons affaire à une puce Sirfstar III intégrée. Cette dernière est désormais montée de série sur tous les nouveaux modèles de GPSà ; elle présente la particularité de passer au travers des pare-brises athermiques dont sont équipées les voitures plus récentes. Le résultat est excellentà ; ils sont identiques à ceux obtenus avec notre Moi P350. Il suffit donc de quelques secondes (même la première foisà !) pour que l’appareil nous détecte. Grace à son CPU de 400 Mhz, le Glofiish est également capable de recalculer très rapidement en cas d’erreur dans le trajet (2-3 secondes au maximum). Nous sommes donc en face d’un modèle très performant et qui satisfera les utilisateurs exigeant. Dommage cependant que dans notre version d’essai le support pare-brise soit manquant.
à L’appareil photo Discret et de bonne facture, il dispose d’un rendu de 2 MP et d’un flash intégré. Vous aurez tout le loisir de prévisualiser vos photos grâce à l’écran généreux du Glofiish. La fonction caméra est aussi disponible. Les formats proposés vont du 176*144 au 1600*1200. De nombreuse options s’offrent à vousà : balance des blanc, date, flash, mode prise de vue, retardateur, etc. Tout cela ne remplacera évidement un véritzble appareil photo étant donné la taille infime de l’objectif. Il ressort cependant que pour des photos courantes comme des photos de famille ou de vacance, l’appareil atteint facilement le niveau de la plupart des appareils de loisir disponibles sur le marché. On est donc plus que satisfait de cette fonctionnalité.
Les fonctions téléphone
Parlons-en car à la base, il s’agit tout de même d’un téléphoneà ! Eh bien, voici un téléphone tout ce qu’il y a de plus classique, à l’exception de son interface. La prise en main initiale est un peu pesante. Il s’agit tout d’abord de comprendre le classement opéré par la machine. Subtilité, les contacts présents sur votre carte SIM et dans votre répertoire Outlook sont mélangés, ce qui est assez déroutant dans un premier temps. Il vous faudra donc harmoniser les doublons si vous ne voulez pas chercher les numéros désirés pendant 5 min. Gageons qu’on s’y habitue assez rapidement. En deux semaines d’utilisation intensive, nous ressentons encore une gêne dans son utilisation. Un téléphone classique ne demande que 2 voire trois manipulation pour démarrer un appel. Avec ce type de système, vous devez tout d’abord dégainer votre stylet puis appuyer sur appeler puis encore appuyer sur contactà ; ensuite il vous faudra sélectionner la lettre dans lequel votre contact se trouve et choisir parmi les différents numéros qui y figurent. Il ne faut donc pas être pressé. Cela paraît assez paradoxal au vu du public cible de ce produità : les professionnels (ne le cachons pas). Les particuliers pourront bien évidemment y trouver leur bonheur. Tout est question d’utilisation dans le fond. Bref, c’est une impression de lourdeur qui en ressort. Quant au son, il ne présente aucun problème, il est limpide. Dernier élémentà : l’autonomie. Il aura fallu deux jours d’utilisation intensive (connexion Wi-Fi activée, consultation de sites Internet, appels et SMS, GPS) pour vider la batterie de l’appareil. Ce résultat est plus qu’honnête et laisse une grande autonomie à l’utilisateur de base. |
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Pas de 3G… Dommage.