Test : Kensington Orbit, on a retrouvé la boule de souris !

Installation / Configuration.

Qui dit souris sans fil dit batterie ou pile. Dans notre cas de la Kensington Orbit, l’alimentation est fournie par 2 piles AA qui sont fournies. On notera simplement que le constructeur n’annonce pas de durée de vie pour le jeu de pile. Il faut donc commencer par installer les 2 piles sous le capot. On en profitera pour noter la présence d’un emplacement pour ranger le dongle si nécessaire. Toujours sous la souris, on retrouve 2 boutons. Le premier a deux fonctions, à savoir marche arrêt et le mode de connexion. Ainsi, si l’interrupteur est en position centrale, la souris est éteinte. S’il est sur la gauche, nous sommes en mode bluetooth et sur la droite en mode radio 2.4 GHz. Ces positions sont identifiables par un pictogramme. De l’autre côté, on retrouve un bouton noté DPI qui permet lui de modifier la vitesse de déplacement (400, 800, 1200 ou 1600 dpi).

Si on positionne la souris sur le mode dongle radio 2.4 GHz, il suffit de brancher le court et discret dongle sur un port USB-A. La souris est alors immédiatement reconnue sous Windows et devient opérationnelle.

La bonne nouvelle, c’est qu’en mode bluetooth, l’installation est aussi simple. Bluetooth allumé sur l’ordinateur, on positionne le sélecteur sur le mode Bluetooth. En moins de 5 secondes, l’ordinateur réagit et un popup nous invite à associer la souris Orbit !

Il suffit de faire Se connecter pour qu’en quelques secondes la souris soit également fonctionnelle. Dans le cas où le popup n’apparait pas, la souris reste visible sans l’ajout de périphériques bluetooth sous le nom ORBIT WIRELESS BT

Dans l’un ou l’autre mode, la connexion est aisée et rapide. Même répétée sur différents ordinateurs, nous n’avons rencontrés aucun problème.

On notera que les voyants du trackball sont situés en dessous et que rien n’informe du niveau de batterie. Il faudra alors se retourner sur Windows pour avoir l’information via les données échangées grâce au bluetooth :

Pour finir ce chapitre, il nous reste a installer le repose poignet. Ce repose poignet est en caoutchouc plutôt souple. Une petite accroche vient s’insérer sous le trackball. Malheureusement, le caoutchouc trop souple ne va pas créer une véritable liaison entre les 2 éléments et il suffit de bouger le repose poignet sur un côté pour le “déclipser”. Même en place correctement, la liaison n’est pas propre et il reste un décalage, une épaisseur entre les 2 éléments.

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