Test du smartphone Eten Glofiish M700 : la solution ?

Dès que vous aurez installé (le cas échéant) ActiveSync, il suffira de brancher le Glofiish en USBà ; ce dernier sera automatiquement reconnu. Une fenêtre de détection s’affichera d’ailleurs à cette occasion. Choisissez «  installer le logiciel automatiquementà » et le tour sera joué. Rien de compliqué en somme. Dès de ce moment, vous pourrez accéder librement à votre appareil à partir du poste de travail.


ActiveSync se chargera au passage de synchroniser vos données. Les amateurs de musiqueà à  pourront, dans les options de synchronisation, établir un partenariat direct avec Media player 10 présent sur le téléphone, ce qui s’avère très pratique lorsqu’on veut disposer des titres et des images liés aux morceaux musicaux.

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Ergonomie

L’objet en lui-même est tout en rondeurs nonobstant son allure rectangulaire. Comme vous avez pu le constater sur les photos précédentes, pas de clavier apparent mais bien coulissant pour laisser la part belle à l’écran. Agréable au contact, il tien au creux de la main, pour peu que vous soyez normalement constitué bien entendu (désolé pour les personnes de petites taille). Les boutons sont habillement disposés de chaque côté. A gaucheà : augmenter/diminuer le son du téléphone/pda (2 indicateurs à l’écran) et commandes vocales (nous en reparlerons)à ; à droite. Allumer/éteindre l’appareil et appareil photo. En façadeà : 2 boutons de menu, appeler/raccrocher, un curseur, un boutons «  retour au bureauà » et un dernier pour accéder directement aux fonctions GPS. Chaque bouton peut être reprogrammé à l’envi. Le tout est bien sûr rétro-éclairé (couleur bleue). L’étui en cuir noir élégant et sobre clipsable à la ceinture ne fait que renforcer l’aspect distingué de l’ensemble, surtout qu’il est de bonne facture. N’oublions pas non plus l’appareil photo intégré de 2 MPixels qui se cache discrètement à l’arrière du téléphone.

Interfaceà : sobriété et efficacité

D’emblée, on aurait de quoi être perdu tant les options proposées sont nombreuses. Sur le bureau, on observe déjà plus de 20 raccourcis, plus les menus habituels d’un pda. à à On apprend cependant bien vite à les connaître car leur utilité est réelle, citons-en quelques uns en vracà : niveau de batterie, menu téléphone, Word, PowerPoint, Excel, recherche rapide (très pratique), ActiveSync, etc.

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Sans rien installer, vous bénéficierez d’une suite de logiciels complète grâce à Windows Mobil 5.0à : Word, Excel, PowerPoint, Media player 10, calculatrice, etc. Les images ci-dessous parlent par elles mêmes, elles vous présentent tous les programmes installés. Attention tout de même, les icônes Resco et Tomtom sont le fruit d’installations ultérieures.

Notez la présence du Voice Commander capable de comprendre un grand nombre d’instruction. Par exemple, il vous suffira, après pression du bouton responsable de l’application de prononcer «  appeler Michelà » pour que ce contact soit appelé. C’est simple et très efficace. Il en va de même pour la plupart des fonctions du téléphone.

Le clavier – l’écran – le stylet

Le clavier qwerty incorporé est très ergonomique, les touches jouissent d’une bonne sensibilité. Il ne faut bien sûr pas avoir de trop gros doigts pour l’utiliser. Cela nous parait normal lorsqu’on traite d’un appareil sensé être miniaturiséà ; il s’agit de gagner de la place tout en offrant un confort suffisant. C’est bien le cas ici. Seul bémol, lorsqu’il est rétro-éclairé, le clavier émet un son d’ampoule ou plus précisément le même son que les pièges à moustique électriques émettent lorsqu’ils sont en fonction. Rien de très dérangeant mais on est tout de même en droit de se demander pourquoi un téléphone de ce prix bourdonne quand on utilise son clavier. Dès que ce dernier s’éteint, se met en veille faute d’utilisation, le bourdonnement disparaît. C’est donc bel et bien lié au rétro-éclairage.

L’écran est lumineux et bien contrasté. De plus, il est très sensible et réagira promptement à la pression du stylet. Ce dernier est escamotable (pliable en deux). Rien de particulier à signaler si ce n’est qu’il s’emboîte au bas de l’appareil.

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1 Commentaire on "Test du smartphone Eten Glofiish M700 : la solution ?"

  1. Pas de 3G… Dommage.

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